Pas de temps mort en science!

Avez-vous déjà remarqué, en regardant des reportages ou en jasant avec des personnes qui travaillent en sciences, que ces gens-là sont passionnés de leur métier et de leur objet de travail? TOUT ou à peu près est issu des sciences dans notre environnement immédiat: la solidité des ponts, de la physique; les tissus synthétiques, de la chimie; nos téléphones intelligents, de l’électronique et les apps, de l’informatique. Sans mathématiques et sans physique, pas d’exploration de la planète Mars. Grâce à la génomique, peut-être arriverons-nous bientôt à soigner le cancer.
Avec autant de sujets trippants, il est quand même étonnant qu’année après année, on fasse le constat qu’un nombre insuffisant de jeunes choisissent des métiers et professions reliés aux sciences. Le Québec est en déficit de ces personnes, qui font partie de ce qu’on appelle l’économie du savoir. Pourtant, ce n’est pas faute d’offrir des activités et de l’information aux jeunes. Pensez aux Expo Sciences, au Festival Eureka, aux émissions comme Génial! ou aux nombreux concours, comme Science on tourne.

Inspirer différemment

Cette année Academos a proposé au ministère de l’Économie, de l’Innovation et des Exportations, dans le cadre de son programme NovaScience, de s’en mêler en inspirant les jeunes différemment! En effet, pourquoi ne pas appliquer le pouvoir du mentorat pour démystifier les métiers des domaines des sciences et technologies et susciter des vocations? En plus, si les entreprises et les établissements scolaires pouvaient rejoindre les jeunes de partout au Québec directement dans un réseau social destiné au choix de carrière… Quoi de plus merveilleux pour eux?